Chapitre V – Module 5 – La syncope

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Ce module sera le dernier consacré à un nouveau rythme de ce chapitre V. Nous allons parcourir 4 pièces pour comprendre et expérimenter la syncope.

  1. Ragtime Song Fest : nous commençons comme d’habitude par une petite pièce d’une page. Elle ne devrait pas vous poser trop de problème. Nous pourrons nous concentrer sur ce rythme sans avoir trop de choses à penser en même temps.
  2. Maple Leaf Rag, de S. Joplin : je pense que beaucoup d’entres-vous vont enfin respirer en jouant une pièce non classique. Nous abordons là un ragtime bien connu. Cette pièce est excellent : accords, octaves, syncopes, bref, elle contient tout ce qu’il faut pour approfondir notre parcours.
  3. The Entertainer de S. Joplin : si nous parlons de syncope, alors S. Joplin a doublement sa place dans ce module. Ici, contrairement à la pièce précédente, l’arrangement est léger. Si vous étudiez la pièce originale vous retrouverez beaucoup d’éléments identiques. C’est donc une très bonne pièce pour se perfectionner dans le rythme de syncope mais également si un jour vous souhaitez jouer la version originale.
  4. Rhapsody in Blue de G. Gershwin : le module se clôture sur un pièce particulièrement difficile tant par sa richesse que par sa longueur.  C’est un challenge, mais qui vaut le coup.

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Description

La syncope au piano

Voici un rythme extrêmement connu, ne serait-ce que par son double sens avec le monde médical. Toutefois, la syncope en musique est tout simplement la prolongation sur un temps fort d’un élément accentué d’un temps faible, dans le but de briser le rythme.
Ce rythme est particulièrement utilisé en jazz, c’est pourquoi nous allons travailler des pièces de Scott Joplin, à travers le rag-time, ainsi que la très connue Rhapsody in blue de George Gershwin.
Nous avons déjà travaillé le boogie, et donc le jazz, lors du module du chapitre précédent consacré au ternaire. Ici le jazz, ou tout du moins ses origines, forment l’entièreté de notre module. Cela nous permet de toucher à l’autre grand univers musical qu’est le jazz par rapport au classique. Nous sortons de notre zone de confort pour nous aventurer dans des rythmes plus complexes. Pourtant, pas d’inquiétude, les différences ne sont pas à ce point difficiles à appréhender, au contraire, c’est le bon moment. La syncope au piano est un rythme incontournable dans le répertoire pianistique, surtout si l’on souhaite travailler du jazz ou des musiques plus modernes.

L’achat de ce module vous donne accès immédiat à plus de 3 heures de cours et au PDF.
Chaque vidéo est consacrée à une pièce dans laquelle je vous peins un contexte rapide de la pièce, une description du plan du morceau et enfin des explications pour chaque partie. N’oubliez pas d’utiliser les marqueurs temporels pour revenir rapidement au point qui vous intéresse ou que vous travaillez en ce moment. Toutes les vidéos sont découpées en parties principales et sous-parties.

Ce module fait partie du chapitre V.

– Le DISCORD et le Forum du Cahier du pianiste : vos espaces de discussion.
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Merci pour achat et à bientôt pour le cours.

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    Ce module est vraiment dans la suite logique des cours du chapitre V, nous avons travaillé le ternaire et le binaire depuis longtemps, aujourd’hui nous allons voir l’insertion d’un temps ternaire dans un morceau binaire. Pour cela nous allons travailler 4 pièces :

    1. G. Verdi, Traviata, Ah, Fors’è Lui, une première pièce issue de l’opéra la Traviata, c’est donc un air, une pièce vocale à l’origine. Nous aborderons le triolet assez simplement pour commencer.
    2. F. Schubert, Rosamunde, Entracte n°3, c’est la pièce à l’origine de l’impromptu du même nom. C’est donc un arrangement de la pièce d’orchestre, elle est particulièrement riche en rythmes.
    3. F. Schubert, Sérénade, D. 957 – n°4, nul besoin de présenter cette pièce normalement tellement elle est connue. C’est une magnifique pièce qui alliera beauté et travail du triolet.
    4. F. Chopin, Mazurka, Op. 7 n°5, nous terminons avec notre première Mazurka de Chopin, particulièrement retors, tant par les alternances rythmiques que par la vitesse de la pièce.

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